vendredi 25 mai 2007

Chacun sa corde

Te rappel tu de cette petite fille que tu aimais tant regarder, assis sous un arbre dans le fond de la cour de l'école.
Tu lui a tellement crier ton amour en silence qu'elle en a finis par ne jamais poser le moindre regard sur ta personne !
Obligé de te contenter de celles qui pour toi n'éprouvaient que de la pitié ...
Tu partage leur sentiment ?
Vous ne vous aimerez jamais !
Les gens autours de toi disent des choses que je voudrait faire taire !
Rassure toi tu n'est pas malade ... tu es à l'agonie !
Tu ferais mieux de te trouver un travail, passer ton permis, te marier avec Judith ou Sophie ...
Tu lui feras 3 enfants, avant que le poid de la production ne te force à ne jamais t'en occuper !
Et ils diront de toi que tu n'était pas un bon mari !
Que tu préférais le sport à la télé plutôt que de partager une bière entre amis.
Que tu était bien égoiste pour emmener tout les dimanches ta progéniture te porter des Chrysanthèmes.
Ils t'ont poussé à le faire !
Ils t'ont poussé à le faire !
Rassure toi tu n'as pas sauté !
Ils t'ont poussé à le faire !
Tu en viens à hair les gens quand ils affirment qu'ils te comprennent ...
De ta naissance à ton enterement tout ne sera jamais que conspiration !
Les entend tu maintenant rire dans ton dos ?
Ceci n'est pas une melodie !
La seule erreur qu'ils puissent commètre serait de te regreter.
Tu ne te reposera pas tant qu'ils rejeteront la faute sur toi !
Ils t'ont forcé à le faire !
Ils t'ont poussé de la branche !
Ils ont piétiné tes rêves !
Ils t'ont soumis au manque et à l'absence !
Tu laissera derrière toi un souvenir indélébile.
Rassure toi tu étais loin d'être inutile !
Tu as fais naitre dans leur yeux la crainte mélée à la peur ...
Ils auraient du y voir une touche d'espoir !
Ils t'ont poussé à le faire !
Ils t'ont poussé de la branche !
Ils ont piétiné tes rêves !
Ils t'ont soumis au manque et à l'absence !
Ils ont imposé leur loi !
Ils ont fait de toi leur roi !
Ils t'ont offert ce qu'ils n'assumaient pas ...
Ils t'ont lesté d'un poid !
En t'enfermant dans cette boite ils ne font que fuir la dure réalité.
Une photo de toi sous l'oreiller pour faire semblant de ne pas oublier.
Mais ils parleront de toi en bien alors qu'ils ne t'aimaient pas !
Tu comprend maintenant pourquoi ils ont coupé le Séquoia.
Ils t'ont poussé à le faire !
Ils t'ont poussé à le faire !
Rassure toi tu n'as pas sauté ...
Ils t'ont poussé à le faire !

mardi 15 mai 2007

Cuz we are your friends ! Ho ! Never be alone again !


Et oui, je suis un homme du peuple !
Une preuve de mon amour pour toi public ?
Je te permet même de télécharger de la musique sur internet à moindre frais, comme ça si un jour tu reçois du monde à la maison, a leur tour ils pourront dire que tu es un grand de ce monde !
Et si ta femme est mignonne, ça te donne une raison de plus de venir me parler.
Tu vois que je suis à ton écoute.

Parlons de musique plutôt ... ce remix il est à l'opposé de l'original ... mais carrément du genre sur la même lattitude ! Et c'est rare de nos jours pour un remix !
Pour écouter l'original, c'est très simple, tu clique sur le monsieur là il va te montrer le chemin Oo !

Mais parlons ici des remixs techno branchouille à la mode que toi même tu peux faire chez toi avec un laptop et le bon serveur LimeWire !
( rappelons que le téléchargement de tout ce qui n'est pas un remix introuvable et collector parceque les 10 exemplaires ont étés écoulés en 3H00 ... et bien c'est mal )

ça faisait tellement longtemps que je n'étais plus remplir mon panier sur la toile, qu'hier j'y ai passé la nuit ! Et la mode en ce moment et au rmx Techno Boom Boom Emo Edit no Clitoris radio R.I.P. ( tu vois un jeu de mot douteux toi ? ... parceque j'ai essayé d'en placer plusieurs )
Je comprend d'ou viens cette envie de chier qui m'as tiraillé le long de mon sommeil pourtant de bien courte durée.

Je comprend aussi pourquoi tout ces singes venaient bombarder mon défunt myspace ( paix à son âme ) de publicités hautes en couleur et toujours plus ( je me force là ) originales les unes que les autres. Ils étaient tout simplement trop mauvais pour gratter l'amitié avec ce qu'ils avaient à offrir de produit brut !
Faut dire que dans cette grande ère de libéralisme totalitaire, il n'y a pas de place pour les enfants !
Mais alors me direz vous ... comment puis-je grandir et me faire tout un tas d'amis moi qui suit tout seul derrière mon PC à compter les pixels sur ma résolution en 1200 par 780 ?
Et bien c'est très simple, ne commence jamais la musique, laisse plutôt ça a ceux qui savent le faire !
Tu peux en écouter, lorsque celle ci est bonne, et la partager autours de toi, tu verras ça va t'ouvrir la voie à des débats fabuleux, de longues oeillades avec la gente de sexe opposé, mais n'imagine jamais faire fortune en triturant 2 - 3 boutons par ci par là ... tu risquerais de tomber sur un connard aigri du genre moi, qui te pourira tous tes rêves de gloires et d'escort girl à 5000 euros le week end en l'espace de quelques lignes seulement !

Je sais, j'ai l'air sympa quand je sourie, mais je sourie pas ( en plus citer des phrases qui ne sont pas de moi me renforce dans mon ego démesuré de mec qui à vu plus de fois le tour du monde que toi pauvre mortel )

Allez fait pas la gueule, pour mon prochain article c'est tout un album que je t'offrirai, en attendant qu'est-ce que tu fais encore sur mon blog ? j't'ai dit d'aller te trouver des amis putain !

lundi 14 mai 2007

Je cherche une connasse qui couche pour des diamants !


Je pensais avoir changé, mais elle est repartie avec tout ce qui était encore humain en moi.
Ouep j'ai décidé de parler de mes problèmes de manière un peu moin figurée, chacun sa corde après tout !
Donc ce soir j'ai décidé de trouver une connasse ... enfin trouver, c'est vaste tout ça, en même temps j'ai décidé de ne plus chercher, donc connasse, si jamais tu passe par là, ouvre ta putain de gueule et annonce toi !
J'organise donc sur mon blog un grand jeu concours !
T'es bonne, tu suces comme personne, un cul comme Brendie Kinnone, laisse moi un massage sur mon téléphone !
J'offre à la gagnante cette superbe pierre de la maison Wagner, taille brillant excellente, sur or 24 carats et serti d'or blanc !
Autant dire qu'il te faudra être la plus grande des connasses pour repartir avec, mais je te promet que ta rétine ne s'en remetra pas !
Pour participer c'est très simple, tu vois ma connasse miniature ? si t'es aussi bien modelée, tu m'laisse un message et tu prie pour être la plus belle !
A très bientôt.

dimanche 13 mai 2007

Laisse maman dormir !

Tu veux pas qu'on fasse l'amour ... ta chatte tu veux pas qu'j'la bourre ?
Laisse moi au moin t'sodomiser.

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Finalement la moyenne d'âge dans la pièce se situe un peu en dessous de 20 ans, quoi de plus normal alors de suivre les tribulation d'une gamine de 15 ans obsédée par les nichons de sa meilleure amie, sa mère se tapant le décorateur, à l'heure des devoirs, sur la chaine de la jeunesse et de l'indépendace.

Et quoi de plus normal ensuite de constater que tout s'écroule autours de soi ...

samedi 12 mai 2007

Definition de la conasse


Nous allons cette après midi étudier le cas de la connasse.
Vous savez le genre de pouffiasse allumeuse un brin schyzophrène qui n'ose pas s'assumer d'elle même et qui à besoin de compter sur les autres pour se construire une identité et s'épanouir dans la vie.
Je sais déjà à quoi vous pensez ... mais à quoi reconnait-on une connasse ?
Du premier coup d'oeil ce n'est pas impossible.
En effet la connasse souvent va chercher du réconfort pour pallier au bordel dans sa vie ... ne vous laissez pas avoir !
Si une connasse vient vous parler de ses problèmes personnels, il y a de grande chances pour que vous en fassiez bientôt partie :/
En effet cette petite conne à tellement accumulé d'emmerdes dans sa vie que pour pallier à ça et retrouver une existence normale, elle va compenser en faisant de votre vie un enfer ... comment ?... me direz vous ... c'est très simple et cela tiens en une petite phrase qui semble bien anodine :
Je serais pour toujours à vos cotés.
Un conseil à l'écoute de ce petit rien qui va bientôt vous pourir la vie, la connasse ne va pas très bien, profitez en pour l'aider à se pendre !
Mais pour bien se rendre compte à quel point la connasse arrive à s'enfoncer dans ses propres déjections, rien de mieux qu'une petite mise en situation.

- Ecoute Amanda, ça fait un petit moment qu'on se fréquente tout les deux, ça ne te dit pas qu'on franchisse un pas en avant tout les deux ? ( j'ai envie de toi bordel )
- J'ai besoin de temps ( je ne sais pas comment t'avouer que j'te prend pour un con ) tu sais c'est pas facil en ce moment dans ma vie, ( laisse moi te pourire la tienne pour que la mienne soit mise un minimum en valeur ) mais je te promet que quand je serait prête je saurait m'offrir complêtement à toi =o ( comme ça ce con il ira pas voir ailleur j'voudrais pas perdre mon jouet )
- Tu sais j'ai parlé avec Jérome qui m'as dit qu'il t'as vu t'amuser la dernière fois au Batofa ... bien accompagnée. ( dit moi pas que c'est pas vrai )
- Quoi, ce connard, il rêve que de me baiser ! ( j'lui en ai pas assez donné ou quoi ? ) Tu préfère le croire lui ou moi ?... ( hey t'as vu mes nibards ? ) après tout ce qu'on s'est confiés encore pas plus tard qu'hier soir =( ( ouep j'avais vraiment rien à faire ce soir là )

Enfin, à ce stade de la relation, c'est encore du petit lait, je crois que si votre dulcinée ne va pas plus loin vous pouvez encore songer à l'épouser, malheuresement, une conasse ne s'arrête pas sur sa lancée, une fois qu'elle a trouvé l'idiot parfait, elle compte bien approndir sa technique de foutage de merde toujours plus loin.

- Bon cette fois je t'ai vu, tu ne peux plus nier, j'étais assis au bar toute la soirée, tu t'amusais tellement bien que tu ne m'a même pas remarqué. ( mais putain connasse passe aux aveux t'es devant le fait établi là ) J'te faisait confiance moi quand tu m'as dit que tu voyais ta mère. ( je reussirai à te sauter avant de te dire adieu )
- Je vois vraiment pas de quoi tu parles ! ( Il aime bien trop mes fesses pour me laisser tomber de toute façon )
- Bon on oublie ça ... tu viens dans mes bras ? ( J'me fait plaisir une dernière fois, demain j'lui tape une crise, j'la lache et j'me flingue )

Le lendemain :

- Bon il faut qu'on parle, j'arrive plus à te suivre, j'me casse ... ( mais putain j't'aime, dit moi que tu recommenceras plus et que tu es désolée )
- Tu veux vraiment qu'on arrête là ? ( ou j'ai foutu le numero de Maxime moi ? )
- Oui vraiment, ( j't'aime putain ) et d'ailleur j'ai jeté tes affaires sur le trottoire ( si elle répond pas à 3 je jette ses affaires par la fenêtre )
- Ecoutes je suis vraiment désolée ... ( Ha non un mec avec qui j'ai pas besoin de coucher, qui me paye des trucs et à qui j'peux raconter n'importe quoi sans avoir besoin de prouver un alibi, c'est la perle rare, pis quand j'l'aurait poussé à bout, j'lui ferait les yeux doux pour apparaitre sur son héritage avant qu'il n'aille se foutre en l'air )

Bref vous l'aurez compris, la connasse seule n'a pas de grandes chances de survie dans un monde ou elle devrait ne compter que sur elle même pour avancer, mais avec votre soutien, elle echaffaudera les pires vices pour s'assurer une petite retraite sur votre compte, ne vous laissez pas avoir, jettez la comme une vieille éponge, elle ne mérite que ça, et si vous avez des remords, présentez là à vos amis ...

Je suis aussi Psychiatre pour Animaux de Compagnie !

Je leur enseigne la pensée positive aux travers d'essais litéraires à en faire palir d'envie J.P.
Ce matin, l'histoire de Sebastien Philippe, le malade imaginaire.

Introduction :

Il était là, comme tous les soirs, derrière son PC à tourner en rond !
Tourner en rond, quand ça ne tourne pas rond est-ce là une bonne solution, il savait bien que non, mais il ne savait pas quoi faire d'autre ...
Aller voir un médecin ?

On ne soigne pas ce genre de maladie autrement que par l'alienation, et il ne voulais pas devenir un de ces zombie de centre médical qu'on bourre d'anxiolytiques et autres dérivés de tue la raison pour les calmer de leur névrose incontrôlable !

Cette maladie, il la connaissait bien, il n'y avait pas de remèdes connus, elle même n'était reconnues que par certains idéalistes, classées d'écrivains à l'eau de rose, de doux rêveurs, parlant des fois de miracles, souvent de malédiction ... l'amour à ses raisons que la raison ignore !

Chapitre Premier : Agnès et le bac à sable

Ce sentiment qui le ronge depuis la petite enfance, quand il avait vu Agnès quitter le bac à sable pour ne plus revenir, allait le poursuivre toute sa vie durant !
Agnès sentait bon, une odeur qui viens d'en bas, mais une odeur qu'on oublie pas, une odeur qui parcourait ses doigts, à 3 ans déjà ...
Elle était bizare, mais il l'aimait bien Agnès, quand elle venait le retrouver avec cette odeur qu'on les sucettes à l'anis, il ne connaissait pas encore l'Anis, mais il s'en rappelerait plus tard.
Alors pourquoi Agnès ne revenait pas ?
Pourtant elle l'aimait, il en avait la certitude, sinon pourquoi était elle revenue soir après soir le rejoindre dans ce lieu sale qui allait leur dicter, toute leur vie durant, que la vie c'est décevant !
Ce soir là elle n'était pas revenue, il avait tendu l'oreil à gauche à droite pour comprendre, pour apprendre qu'on avait pas élevé les cochons ensemble.
Heuresement qu'il n'avait pas élevé de cochons, c'était le rôle des fermiers, était-ce alors la faute des fermiers si Agnès ne revenait plus ?
C'était décidé, à partir de ce jour il détesterait les fermiers pour l'éternité, plus tard il voterait une loi pour authoriser les OGM dans le domaine public, mais si à ce jour personne à part lui n'aurait pu imaginer telle malédiction pour ses pauvres artisants de la terre.
Agnès ne revenait plus et il était triste.
Il grandit avec ses larmes pour seules compagnes ... puis arriva le temps de s'émanciper.

Chapitre 2 : Amandine ... une princesse ?


C'était un matin d'automne pluvieux, des enfants ?
Il n'était donc pas le seul ?
Il y en avait beaucoup, c'était comme à la télévision, mais ou était Dorothée ?
Non il n'y avait que des enfants, et de vielles dames en guise de bergères, tenant un drôle de baton gradué pour garder les moutons dans cet enclos que tous appelaient l'école.
A l'école il y avait Amandine, elle était grande, dans la classe des moyens, mais son sourire la rendait si petite qu'on aurait pour elle affronté la prise du chateau de bois, enfin amandine n'était que moyenne, et les grands se chargeaient pour elle de contrôler le fort.
Elle y était la princesse, et lui n'était qu'un pauvre prolétaire de ce micro-système régi par celui qui frappe plus fort que les autres !
Alors il se contentait de lui crier son amour en silence.
Restant tard dans la classe pour se retrouver seule avec elle ...
Il n'aurait cependant jamais osé l'approcher, ça aurait été lui faire du mal, une princesse et un prolétaire, on n'a jamais vu ça, même dans un conte de fée !
Il décida alors une bonne fois pour toute de se mutiler pour tenter de l'oublier, si elle passait pour une garce à ses yeux peut être aurait il moins de remords à la laisser dans l'ignorance, sachant que s'il avait attendu toute une vie, un soir elle serait dans son lit.
Bien entendu, en guise de chatiment corporel, il devait se contenter de se couper le petit doigt, les Yakuzas faisaient ça pour prouver leur valeur au clan, lui le ferait pour prouver son amour à sa belle.
C'était ce soir ou il s'était retrouvé seul avec elle dans la classe, pour finir les travaux d'art plastique !
C'était le soir idéal, chacun avait, à l'aide d'un camarade, réalisé un artefact de soi en papier grandeur nature ... il fallait le découper, il avait pris exprès du retard pour arriver à terminer le contour de sa main, quand elle passerait devant lui pour quitter la salle ... et la voila qui s'avançait, il la regarda droit dans les yeux, elle ne fit pas attention à lui ... son sang ne fit qu'un tour qu'il sectionna dans le petit doigt ... elle ne serait jamais sa fiancée, et il n'en aurait plus jamais !

L'été se passa comme à l'ordinaire, il passait ses vacances chez mamie, pour ne pas entendre papa crier sur maman, et pour fuir les bétises que maman faisait à papa.
Le temps ici était arrêté, il n'attendait que la rentrée pour revoir Amandine et lui dire qu'il était tant désolé, elle le comprendrait, après tout elle était la seule qui captivait autant son regard !
Le mutilé n'avait pas bougé, punaisé à la tête sur le mur de la chambre, mais son doigt était réparé, car il dévait être fort et se reconstruire pour aller offrir de jolies fleurs à sa bien aimée !

Et vint enfin l'automne, l'automne tant attendu, période de tous les amours interdits, les feuilles pleuraient les amants déchirés, mais lui enfin allait retrouver Amandine ...
Elle ne le regardait toujours pas, mais cette fois il avait décidé de se battre, les grands avaient disparuent de l'autre coté du mur, il ne restait que les moyens pour défendre la belle, cette fois c'était décidé, il prendrait le chateau, et irait l'offrir à sa belle, en compagnie de ses fièrs compagnons, Nabil et Julien.
La prise du fort avait été difficile, mais enfin ils avaient réussis, au combat, Mussa s'était rangé de leur coté, un homme fort et fier comme un turque qui les avait grandement aidé.
Les yeux pleins d'étoiles, il scruta l'horizon du haut de son nouveau QG, il appercevit sa douce et tendre ... escaladant le mur pour discuter avec les grands de la nouvelle école.
Pourquoi continuer à vivre ainsi ?
Le sol était à au moins 1m20, il y passerait surement s'il se laissait tomber ... ce qu'il fit sans se poser la moindre question !

A son réveil, on l'assena de questions, il avait mal à la tête, pourquoi avait il survécu ?
C'était la faute à Moussa, il l'avait poussé ... dans une guerre il faut savoir sacrifier des fois de bons éléments pour continuer la bataille !
Il ne reviendrait pas sur sa décision, Moussa serait disputé, mais on ne lui poserait plus de question ...

Chapitre 3 : Pauline, la jeune fille aux plumes

Il pensait qu'il était seul au monde ... mais alors qu'il retournait dans la cour, un doigt vint lui taquiner l'épaule ...
Une petite fille ... enfin petite, elle n'était ni chez les moyens ni chez les grands ... lui tendit une plume.

- Je m'appel Pauline ... et toi ?
- Sebastien
- Je ramasse les plumes dans la cour pour me faire un joli chapeau, tu ne veux pas m'aider ?

Ramasser des plumes ... c'était bien un truc de fille ça ... mais en y réflechissant, il pourrait faire un beau chapeau à Amandine, c'était décidé, il allait accompagner Pauline dans sa quête des plumes, elle avait beau être toute petite, elle avait là de bonnes idées =o
Les plumes s'entassait dans le tirroir chez Mamie et Papy, le chapeau allait bientôt être terminé ... il le confectionnerait à l'été, puis à la rentrée irait escalader le mur pour offrir ce joli chapeau à Amandine.

L'été recommença comme à son habitude ... il detestait l'été, en cette saison les filles partaient en vacance ou jouaient à la ville, et lui regardait le temps glacial s'écouler sur la montre chez ses grands parents ... mais l'été ne durait que deux mois, et revenait le temps merveilleux des feuilles mortes qui pleurait la fin de cette horrible saison !
Le deuil avait en soi quelque chose de magique, qu'il ne comprenait pas pourquoi tout le monde pleurait lors des enterrements.

Toujours est il que la rentrée était bien là, le chapeau de plume était terminé, pour le premier jour d'école, il avait enfilé ses plus beaux habits, un jean qui arrivait au dessus des molets, une chemise rouge et une veste de cowboy en jean, il était sur d'épater avec cet attirail ...
Il courra au mur son cadeau à la main, mais ne trouva pas Amandine ... ou était elle passée ?
Tan pis il reviendrait demain, puis s'il le faut la semaine prochaine ... Amandine ne revenait toujours pas ...
Enfin il avait appris qu'Amandine était dans la section des mixtes 2 !
C'était une terrible nouvelle, car toute une cour d'école les séparaient ... il ne reverait plus jamais sa belle, alors il noirait son chagrin dans les courses de voiture le long du mur, pour récolter quelques francs et revendre des bonbons sur le marché noir !
Seulement ceci n'apaisait pas son malaise, alors de temps en temps il se faisait mal, pour ne pas revenir dans ce terrible endroit ou jamais plus il ne reverait sa belle !

Il avait déjà beaucoup étudié la médecine malgrès son jeune âge, il savait parfaitement comment se déboiter un genou, ou la torsion nécessaire au pied pour provoquer une entorse ... ça lui permettait de fuir l'école, et le souvenir amère de cet amour illusoire.
Pauline ne l'avait pas oubliée, elle n'habitait pas loins et lui apportait souvent de petit cadeaux, mais il ne voulait pas de Pauline !
Il était des grands, elle était des moyennes, lui aussi partirait pour la grande école l'année prochaine, et il lui briserait le coeur de ne pouvoir traverser toute une coure pour aller la retrouver de l'autre coté du mur !
Alors plutôt que de la bercer de fausses illusions, il allait la mépriser ... était-ce ce sentiment alors, celui qu'on appelait la haine, au nom de l'amour ?

L'été passa très vite cette fois aussi, quand le temps est figé, il n'est plus besoin de compter !


Chapitre 4 : Kelly, la femme de ma vie


Il était venu le temps de la grande école, maman n'allait pas bien, et avait voulu se rapprocher de lui, maman avait tout le temps étée gentil, même si elle faisait beaucoup de bétises qui ne plaisait pas à papa, elle dépensait beaucoup d'argent pour les cigarettes, les petites voitures, les bonbons et de drôles d'histoires de factures.
Papa n'était pas souvent là, il travaillait tard, et quand il rentrait, c'était pour rouspêter et aller s'assoir devant la télé.
Papa aimait la pêche et le foot ... berk, lui préférait jouer à la poupée avec Vanessa sa cousine, un jour ils se marieraient tout les deux, ils se le sont promis, et vivrons dans une belle maison comme Barbie et Ken.
A l'école, il jouait au loup bisou avec les autres, c'était un jeu facil, on attrapait les filles pour les mettre contre le mur et leur offrir de doux baisers ... parmi ces filles il y avait Kelly.
Kelly était la plus belle fille de la ville, et il avait trouvé le truc pour l'embrasser sur la bouche, quand elle était contre le mur, il suffisait de se baisser pour feindre d'embrasser sa culotte, elle ne le supportait pas, se protégeait avec les mains, et s'il était assez rapide, il arrivait à remonter à ses lèvres gouter ce parfum de miel indescriptible ... lui qui n'aimait pourtant pas le miel ... mais là c'était différent !
Kelly était aussi la fille la plus intelligente de l'école, surement du monde entier, il n'y avait pas 36 solutions pour qu'on s'interesse à elle, il fallait être intelligent à son tour, et ça on n'y arriverait qu'à force d'un travail acharné !
C'est ainsi qu'il s'était retrouvé confronté à Julien, qui lui aussi devait avoir des vues sur Kelly, car lui aussi était très intelligent, c'était un combat constant pour être le meilleur de la classe et le chouchou de la maîtresse, berk le chouchou de la maîtresse, qu'elle horrible idée, rien que d'y penser ... mais pour les beaux yeux de Kelly, aucun sacrifice ne semblait insurmontable !
Seulement Julien avait ce petit air de loubard, de gangster fragile qui semblait faire fondre le coeur de Kelly.
Alors il n'y avait pas 36 solutions, il fallait faire de plus grosses bétises que Julien pour se faire assez remarqué, et les bétises c'était l'affaire de l'autre Julien, le meilleur ami de Kelly.
Ha ça pour faire de grosses betises, comme pour être le plus intéligent, le meilleur moteur reste un adversaire à la hauteur !
Car dans la vie rien n'est aquis et il faut constement se battre pour obtenir ce que l'on désire le plus intimement du monde !
C'est comme ça qu'il était devenu le meilleur de la classe, apportant toujours à la maison les meilleurs carnet de notes qui rendaient fier toute la famille, mais c'est comme ça aussi qu'il apportait le plus de punitions ... rendant souvent fou de colère papa, mais attirant les calins de maman pour le consoler x)

Kelly ne semblait pas plus que ça s'interesser à lui, enfin elle ne semblait s'interesser à personne, elle ne passait son temps qu'à des trucs de fille.
Il fallait la rendre jalouse, et quoi de mieux pour ça que de faire les yeux doux à claire, la copine officielle de Julien.
Voler la copine d'un ami c'est mal, mais Julien ne s'interaissait pas à Kelly, il comprendrait donc le geste, et puis il est si facil d'endosser le rôle de salaud quand on veux conquérir le coeur d'une fille qui en fait ne nous interesse pas.
Il ne fallu qu'une petite semaine, passé à faire semblant de s'interesser à ses centres d'intêrets, pour enfin tenir la main de Claire et se montrer comme étant le premier à entrer dans la classe, quand rangés deux par deux, nous quittions la coure d'école.
Mais Kelly semblait continuer de feindre son indifférence ... la seule qui semblait touchée par ce petit manège était Jenny.
Jenny était un garçon manqué ... pouah, une fille qu'on aime, c'est une fille douce et féminine, comme Kelly ou Claire !
D'ailleurs elle passait son temps à lui courir après, à le menacer, le frapper ... il n'en avait que faire, cela faisait plus de deux ans que son coeur battait pour Kelly, et cet amour ne faisait que commencer, c'est de son corps qu'il rêvait le soir à demi nu dans les grand lit que son père occupait avant lui chez Mamie.
Oui il était retourné chez Mamie, car maman avait du partir ... à l'hopital cette fois, plus pour le travail.
Maman qui avait de si beaux cheveux, les avaient tous perdus, il était triste pour elle, mais les rares fois ou il avait le droit de lui rendre visite dans la section spéciale de l'hopitale, ou il n'y avait que des gens qui n'avaient plus de cheveux, à chaques fois, pourtant tellement rares, elle semblait heureuse, un grand sourire aux lèvre, alors il souriait à son tour.
On ne se rend pas compte comme ça, mais qu'est-ce que c'est fort une maman.
Il avait maintenant hérité du grand lit de papa, ça voulait dire qu'il était devenu un homme, ça l'emoustillait et le soir dans ce grand lit, il avait du mal à trouver le sommeil, il faut dire qu'il y avait bien de la place pour Kelly, et plutôt que de dormir, il était mieuxd de passer son temps à s'imaginer tout les calins qu'ils auraient pu faire ensemble ... c'est bien ce que papa et maman faisait dans la chambre quand ils se retrouvaient nus, si il était un homme, il faudrait qu'un jour il se retrouve nu avec Kelly dans un grand lit, à la border de caresses et de baisers sur toutes les parties de son corps.

Les années passèrent, 5 ans à la grande école, 5 ans à regarder Kelly de loin, arriva enfin le grand voyage de fin de classe, il en avait entendu parler, les filles dans une chambre, les garçons dans l'autre, et aucun interdit, tout serait permis !

Le lieux était situé dans un petit village de montagne, isolé, Kelly était dans le dortoir juste à coté, seulement les garçons n'avaient pas le droit d'y entrer, juste le moniteur, tard le soir pour vérifier que tout allait bien.
Il faisait semblant de dormir attendant que le moniteur vieille éteindre les lumières, mais il remarquait toujours après sa venue dans leur chambre de l'agitation dans la pièce d'à coté ...
Un soir il décida de se relever, scruta du coin de la porte, la lumière éteinte, que le moniteur s'éloigne ...
Puis enfin il se décida à entreouvrir la porte du dortoir des filles ... ce fut comme un rêve, elle était là à rigoler ensemble, elle ne l'avait pas remarqué, et soudain, Kelly sortit de la douche, une serviette dessinant ses courbes, plus magnifiques encore qu'il n'avait put les imaginer dans ses rêves les plus fous !
C'était décidé, Kelly allait devenir la femme de sa vie !


Chapitre 5 : Une nouvelle descente aux enfers

Avant l'entrée au collège, pour la première fois de sa vie, l'été lui était chaud, il ne rêvais que de Kelly, mais avait l'occasion de la voir de temps en temps, elle qui lui apportait toujours de beaux cadeaux à son anniversaire, il la voyais quand il allait dormir chez Julien avec les autres, le Julien qui le concurençait sur les bétises bien sur, bien qu'il était devenu ami avec les deux !
C'est un de ces soirs qu'il appris la terrible nouvelle, il n'avait pas su se décider à temps, et Kelly était tombé amoureuse d'un autre, quelqu'un qui était déjà au collège, il devait surement aussi avoir une mobylette, ce truc qui fait craquer les filles ... un nouveau sentiment de haine l'empara, mais pas envers Kelly, elle était surement victime d'un sortilège incertain, non de cet inconnu qui avait osé lui voler son rêve le plus fou !
C'était décidé, un jour il aurait une mobylette, et deviendrait le pire voyou que les routes ont connus, peut être était il destiné à n'être qu'un Yakuza !

Vint enfin le collège ... Kelly n'était plus dans la même classe, mais son amour pour elle ne changerait pas !
Il rencontra alors Alain, chose amusante, Alain avait été son voisin depuis qu'ils avaient 3 ans, mais c'est à l'âge de 11 ans qu'il fit sa connaissance.
Alain lui était amoureux de Leslie, la soeur jumelle de Kelly, le destin finalement faisait bien les choses !
Le collège fut une expérience réellement nouvelle, des filles étaient venues de tout les villages limitrophes, jamais il n'en avait vu autant.
Hélas le collège sonna aussi le départ de Kelly et Leslie pour le Sud de la France. elle n'étaient restées que pour leur sixième année, et leur mère, pourtant si douce à son égard, il en était venu à la detester à son tour !
Pourquoi ?
C'était bien elle, et son travail de professeur d'anglais qui lui avait retiré son unique amour, celle pour qui il voulait revoir un printemps, pour 6 printemps d'affilés tout de même !
Il s'éloigna alors aussi d'Alain, puisque maintenant ils n'avaient plus de points en commun, et il décida de maudire les filles, elles qui osaient lui lancer des regards aguicheur, alors que son coeur se retrouvait en miette !
2 ans de grande solitude passèrent ... il n'avait plus que pour unique compagnon Guillaume, qui était le seul à connaitre son secret avec alain, ce secret qui montrait de l'extérieur une mysoginie incroyable de haine, de dégout, il oubliait doucement son projet de devenir un jour un grand vétérinaire, pour nourir sa nouvelle passion, la drogue !
Avec Guillaume, il avait expérimenté depuis longtemps la cigarette, guillaume était un coeur volage lui, un jour amoureux de Claire, le lendemain de Virginie, pour enfin un jour finir dans les bras d'Anouk !
C'est comme ça qu'ils découvrir les joie de se détruire, plutôt que de gouter un bonheur illusoire, préférant sècher les cours pour aller fumer des cigarettes, puis doucement l'herbe fraichement coupée.
Mais il en avait marre de tenir la chandelle et commença à s'éloigner du couple, qui de son coté lui faisait assez comprendre qu'ils aimaient avoir leur intimité.
Fallait-il songer à se briser le coeur à nouveau, lui qui n'était toujours pas reconstruit.
Pourtant la vision d'Anouk et guillaume lui réchauffait les miettes, il le désirait aussi.


Chapitre 6 : Un groupe d'amis

Un matin il fit la connaissance de Mike, qui lui présenta Manu, Mickael, Virginie, Audrey et Vanessa.
Vanessa ...
Elle n'était pas forcément belle, mais il se sentait attiré, il faut dire qu'il avait tant changé ses dernière années, troquant son jean de cowboy pour des baggy troués et des tee shirt Neo Punk no future.
Depuis le départ de Kelly, ses notes aussi avaient chuttées, qu'à cela ne tienne, il finirait dans un squat avec Vanessa, menant une vie de dépravé, du moment qu'il serait dans ses bras !
Mais Vanessa avait un gros défaut, c'était une fille perdue qui passait son temps à coucher avec les autres mecs de la bande pour tuer l'ennuie.
Alors il l'oublierait à son tour, et pour ne pas casser cette unité que tous avait, il dirait adieu au groupe pour se retrouver seul à nouveau !
Il n'avait gardé de contacts qu'avec Mike.
Il faut dire que cette curieuse liaison qu'il avait entretenue avec Vanessa l'avais cette fois ci couché plus bas que terre.
Il aimait sa compagnie, et la suivait jusqu'au bout de la nuit, avec les autres membres du groupes, ils sortaient comme ça, à minuit passé, pour se regrouper dans une vieille cabane abandonnée, les uns baisaient dans une salle commune, les autres se défonssaient, souvent à tour de rôle.
Il était le seul à n'avoir choisi que le chemin de la défonsse, baiser n'avait pas d'intêret, il n'aurait jamais partagé la femme de sa vie, qu'elle pourrisse dans une vie de catin, elle ne serait pas la femme de sa vie.
Au collège ça n'allait plus, le manque de sommeil avait ruiné l'avenir de tout un groupe, et le cercle infernale resserait son emprise vers la vie de prolétaires auquels ils étaient maintenant destiné ...
Il décida qu'il en avait assez !


Chapitre 7 : Cindy, allume moi


Il avait gardé le contact avec Mike, il faut dire que du groupe il était le seul sérieux, il était déjà depuis quelques années avec Virginie, alors qu'à coté les couples se faisaient et se défaisaient aux rythme de canettes de bière et des culs de joints à moitiés cartonnés.
Grâce à Mike il rencontra Cindy.
Cindy était si belle, qu'il l'aurait suivi au bout du monde, mais il allait là essauyé une des épreuves les plus douloureuses de sa vie, tomber amoureux d'une amie.
Cindy sortait avec Frederique, et bien qu'il le savait, il la suivait partout pour ses beaux yeux.
Volant 20 franc par ici, 30 francs par là dans le porte monnaie de maman pour alimenter le scooter et rentabiliser cet amour à sens unique qui le consumait.
Heuresement que la drogue et l'alcool l'aidait à tenir le coup.
Il suivait comme ça Cindy jusqu'à l'etang ou Fred avait un chalet, et une fois arrivé, le couple allait batifolé, et lui, rendu seul avec sa propre personne, se détruisait un peu plus chaque jour avec ce doux brevage qui lui faisait oublier ce qu'il faisait ici !


Chapitre 8 : De bien curieuses fiançailles

L'été passa très vite, mais pas autant que ne se dégradait son etat physique et mental.
Il avait décidé de se retirer dans la légion pour oublier les femmes.
La legion, le L.E.P, un lycée professionnel, seul deux filles y avait fait une demande d'entrée, et aux vues des spécimens, il fallait mieux encore finir PD !
Il passa dans ce lycée un an de sa vie, essuyant le pire des echecs scolaire, se terminant maintenant, tout les jours, aux alcools forts et aux drogues, qu'elles fussent naturelles ou de synthèse, avant de se faire renvoyer sans avoir pu finir le cycle scolaire.
Un an sans cotoyer de femmes, ce fut très long, quoi qu'on en dise, s'il n'y avait pas eu ses deux plus fidèles compagnes, l'alcool et le canabis, il serait surement mort pendu à une corde dans le fond du jardin ... c'était décidé, elles seraient les femmes de sa vie, et pour marquer ces fiançailles pour l'éternité, il irait chez le premier tatooeur venu pour encreer sur la nuque, comme pour crier au monde son amour eternel pour la vie de bohème et l'auto mutilation.


Chapitre 9 : Toute les femmes de ta vie

Il avait été admis à la rentrée dans un lycée d'une ville limitrophes, il lui fallait s'éloigner de ses racines pour se reprendre en main, selon les dires de son père ...
Entre ses parents d'ailleur, rien n'allait plus, le quatrième enfant était arrivé ... Emma, une enfant handicapée qui demandait à sa mère tout son temps libre, elle avait d'ailleur fait une demande de pré retraite à seulement 33 ans pour s'occuper de sa fille, ce qui n'arrangeait pas la vie de couple, et encore moins le vie de famille.
Dans ce nouveau lycée, il avait été le seul garçon de la classe, il allait pouvoir se mettre à étudier la gente féminine, enfin le pensait il ... mais la terrible malediction le reprenais, il tomberait à nouveau amoureux de la fille qui est trop belle pour lui, Marine, une beauté du soleil, portugaise de par ses parents, dorée comme le soleil, mais ne lui addressant pas le moindre regard, et même dans une classe d'une vingtaine de fillles, quand on ne porte son dévolue que sur une seule, les autres n'existent pas, ou prennent le rôle de camarade de classe, de bonnes potes sur qui ont peu compter pour rigoler quand l'envie de pleurer et trop forte, comme avec Wassila, qui prennent le rôle d'adversaire au combat comme Christelle qui se battait avec lui pour garder la place de meilleur élève, qui prennent le rôle de confidantes, comme Sofia avec qui il partageait le repas de midi, ou comme celle qui nous parait soeur, comme Lisa, adepte du non foutisme et de l'art de donner l'air de s'en moquer de la vie avec une aisance à rendre fou le plus patient des professeur.
Toutes ses filles qui le regardait, elles aussi ne pouvait espérer plus car lui avait jeté son dévolu sur celle qui lui était interdite.
Il essaya bien de faire un pas avec Samia, qui lui écrivait des mots doux dans son agenda, ou avec Aurélie qui s'occupait de lui comme d'une mère quand il était trop défonssé pour faire le moindre effort, et qui lui ramenait les photocopies manuscrites des cours pendant la pause.
Mais ces filles aussi ne lui étaient pas destinées, car trop bien entourées ... durant ces deux années il compris que pour plaire à une fille, il falait l'ignorer, être un salaud en puissance, il se donna alors le pari de le devenir ... allait il résister à la tentation ?


Chapitre 10 : Jennifer, première fois dans un hopital

La première année se passa comme les précédentes, il passait son temps le soir à se defonsser, passant d'un squat à l'autre, d'un groupe d'amis à l'autre, et les études s'en ressentaient, au lever, le programe était simple, pas de petit déjeuner, check aux connaissances en attendant le bus scolaire, au moins il y avait du monde et les pétards tournaient, entré dans le bus, il roulait plus vite que le conducteur, et sur le chemin du lycée se renchainait les seules feuilles qu'il arriavait encore à maitriser.
Les deux premières heures de cours étaient dédiées à la sieste de récupération du sommeil, les autres heures à passer la déscente de l'herbe en faisant tout et n'importe quoi sauf étudier ... pourtant il était doué, mais ne se maintenanit que dans la moyenne.
L'été arriva ainsi très rapidement, et ses parents, dépités, décidèrent de le faire hospitaliser pour une cure de sommeil.
Il partageait la chambre avec Mohamed, et tout deux avaient repérés Jennifer, une fille belle comme un printemps de fleurs, tout s'enchaina très vite.
Il redécouvrit le poid à porter de subir les confessions d'un ami quand à la fille désirée.
Il découvrit pour la première fois de sa vie qu'un sentiment pouvait être partagé, pour une folle nuit sur un lit froid dans une chambre d'hopital, et découvris aussi pour la première fois la gène face à un ami qu'on vient de trahir, la juste sous son nez, et que l'on ose pas regarder en face.
Jennifer avait été admise pour une tentative de suicide, plus un appel à l'aide qu'autre chose, c'est ça qui l'avait tout de suite séduit, cette chose si fragile qu'il pouvait prendre dans ses bras, et se sentir avec elle fort pour la première fois, le sentiment de quelqu'un qui pleur sur votre épaule, la caresse des baisers, de vrais baisers ou l'on ferme les yeux et qu'on laisse s'aventurer la langue, le plongeon interdit dans un regard duquel on sait qu'on ne ressortira jamais.

Cette idyle ne passa pas l'été, bien que né d'un désir fort et sincère, l'archaicité technologique et la distance auront eu raison de lui ... Il fallait retourner dans le lycée, encore plus bas, encore plus avec cette envie de raser le sol, et la deuxième année se déroula comme la première, les problèmes de someil n'était pas résolu, et il continua à se détruire de plus belle, vint la fin des études, pas un diplôme en poche, la dernière chance de s'en sortir fut de tenter le tout pour le tout dans l'ultralibéralisme, tant économique et social qu'idylique.


Chapitre 11 : Le klub des Hashishins

De vétérinaire, il se tourna vers les arts, en autodidacte, il découvrit internet et ses infinis moyens de communication.
Avec un groupe d'amis il se lança dans le vandalisme graphique, avec un autre dans le vandalisme sonore, tout était bon pour cracher à la gueule d'un monde qui ne lui avait pourtant rien demandé, et qui avait tant à lui offrir.
Sur internet il était devenu un mac, bien décidé à briser les coeurs pour satisfaire son ego démesuré.
De défonsse en répétitions dans la vie réelle, d'une femme à l'autre dans ce monde bien virtuel, promettans monts et merveilles aux unes pour aller se dépraver dans la cyber sexualité sale et perverse avec les autres.
Les liaisons se déchiraient autant que ne pouvait couler l'alcool, bruler les têtes et les billets de 20, 50, 100 euros, générées par les fêtes clandestines et l'argent de la drogue.
Une rock star était née, la cocaine refis son entrée, puis Marion arriva.


Chapitre 12 : Marion et Victoria, Sex, Drogue et Rock'n'Roll ... et les sentiments ?

Le problème que l'on rencontre, quand on donne l'image d'une rock star, mais que l'on a pas les épaules pour l'assumer, ça ne se ressent pas au quotidiens.
L'alcool et la drogue aident à cacher le malaise ... quand l'unité d'un groupe se maintien dans l'orgie, tout le monde est soudé et invincible, même plus bas que terre.
Non le problème refait surface quand on a plus les épaules pour continuer à prendre une fille pour une conne, et qu'on se fragilise à commencer à se confier à elle.
Marion était de celles là ...
Il tenait un blog qui rentrait beaucoup de visite, une sorte de journal intime, les gens découvraient, revenaient voir pour revenir aux nouvelles.
Marion aussi à découvert ainsi son univers.
Fait de Strass et Paillettes, montrant un groupe soudé, des histoires à raconter, la créativité débordant de la synthèse d'une pillule dorée.
Au début on se cherche, on commence alors à se plaire ... vient le temps ou on ne peut plus se quitter, seulement au début tout cela est bien utopique, mais quand l'un devient la seule raison de vivre de l'autre, le groupe, les hitoires, la créativité, tout viens à disparaitre au profit de cet amour qui vous ettouffe doucement et ne laisse plus rien autours, amenant doucement la routine.
Nouvelle descente aux enfers, mais de courte durée ... Marion était réellement amoureuse, elle envoya Victoria sa meilleure amie récupérer son cher et tendre.

- Bonjour, c'est toi sebastien ?
- Oui c'est moi, et toi qui es-tu ? comment me connais-tu ?
- Je suis une amie de Marion ...
- Je vois ... dsl je dois partir !
- Attend ... que s'est-il passé dans ta tête ... tu ne peux pas fuir comme ça !
- Mais moi je suis là, et elle ? ou est-elle ?
- ...
- Bon ce n'est pas grave :/ et toi tu t'appels comment ?

Une nouvelle histoire d'amour était née, cette fois ci partie de rien ... enfin amour ... ils masquaient cela en amitié, mais au fil des mois étaient devenu inséparables.
Marion avait disparue de sa vie, Victoria était entrée, et Marion avait fuie Victoria, pour un amour impossible, une réelle amitié venait d'être brisé.
Comme cela 7 mois avaient passés.
7 longs mois éloignés de plus de 1000 km l'un de l'autre, avec pour seule connection un ADSL défaillant, mais qui les racrochaient à tout ce qu'il leur restait.
Tragédie inimiginable, cette histoire s'est terminé lors de la rencontre, assis sur un lit, dans un appartement vide, devant les inconnus.
Elle voulait plus et avait reculé, presque sous les draps.
Il ne voulait pas, ou peut être ne comprenait-il pas ?
Il la désirait au moin autant, sinon plus, mais resta assis devant les inconnus, et ne lui déclara son amour qu'une fois à la maison revenu.
Il l'avait perdu !


Chapitre 13 : Nelly, 1 an après

1 an passa loin de toute compagnie féminine, un soir, sur caramail, une rencontre, elle voulait s'amuser, il se dit pourquoi pas.
Il la rejoigna aussi tôt !
Elle était plus belle que sur ses photos, ils n'attendirent pas cette fois ci pour s'offrir complêtement l'un à l'autre.
Une nuit magique, le soleil perçant les stores de la chambre encenscée, et un réveil difficil, pas de boulôt, dispute de colocation, on sait que l'on s'aime, mais la pression est trop forte, alors disons nous adieu.
9 mois passèrent, elle revenit.

- Ou étais tu passée, moi qui t'ai tant de fois appelé !
- ...
- Je crois que nous n'avons plus rien à nous dire
- ...

Et il ne cherchit pas à comprendre, il se deconnecta, et ne revint plus jamais la voir.


Chapitre 14 : Clémence et Amanda, 2 ans après

2 ans passèrent, il était redevenu une rock star, passant de conquètes en fille de joie quand ses envies animales le rendait incontrôlable ...
Tout lui reussissait, les femmes l'adulait, les fans se déchiraient, les labels indépendants faisaient tout pour le rallier à leur cause, il était devenu un étendart, mais la douleur à l'intérieur ne s'était pas dissipée.
Il y a de cela 3 mois, il la rencontra.
Elle était dans la même situation que lui.
Belle, adulée des foules, deux Peoples allaient se rencontrer, se découvrir, s'aimer puis s'entre déchirer.
Il avait remarqué son profil, elle avait tout pour lui plaire ... il était partagé entre un sentiment de peur et une attirance instinctive qui lui ferait dire qu'elle lui ferait encore plus mal que les autres.
Plus mal que les autres ? ou serait-ce la cause de l'accumulation de toutes les autres.
Il n'avait en tout cas plus rien à perdre.
Il la chercha dans les salons de discution, la trouva, et alla sans dire mot observer sa manière de fonctionner.
Elle le remarqua tout de suite, et vins lui parler.
Tout deux avec un lourd passé, et aucun ne voulait s'ouvrir à l'autre.
Ils ne faisaient que s'amuser, quand on n'a plus rien à perdre, on ne garde que les bon cotés.
La connections était virtuelle, mais les sentiments étaient sinscère.
Tu me plait !
Toi aussi !
J'ai envie de toi !
N'attendons pas !
Et l'irréparable arriva !
Ce moment fut tellement fort qu'ils décidèrent de tout se dire, tout se confier.
Ils étaient ensemble du matin au soir, gardant contact sur msn, par sms, se confiant qu'ils se désiraient, se racontant tout de leur journée, se faisant des promesses sincères.

- Toi tu veux quoi ?
- Je veux quelqu'un à mes cotés, avec qui avoir des choses à partager.
- Moi je veux la même chose que toi.
- On ira au bout du monde, ne me trahis pas, pour l'éternité tu seras à moi !

Mais la malédiction recommença.
Il voulait la voir.
Elle n'était pas prête.
Il lui demanda ou venir.
Elle l'envoya par ci par là, mais jamais elle n'était là.
Plus il insistait, plus elle le fuyait.
Il lui promis qu'elle serait la dernière.
Elle lui mentit sur son prénom, puis lui avoua un soir.
Elle ne se confiait plus à lui depuis longtemps, ne gardant la flamme que par des calins pour éviter la peur de trop en raconter.
Lui de son coté réanimait sa névrose, elle ne l'aimait pas, pourtant si, que penser quand le froid et le noir se réinstallent lentement, consumant comme un feu glacial tout ce qui nous entoures.


Conclusion :

Et enfin ...

Il était là, comme tous les soirs, derrière son PC à tourner en rond !
Tourner en rond, quand ça ne tourne pas rond est-ce là une bonne solution, il savait bien que non, mais il ne savait pas quoi faire d'autre ...
Aller voir un medecin ?
On ne soigne pas ce genre de maladie autrement que par l'alienation, et il ne voulais pas devenir un de ces zombie de centre médical qu'on bourre d'anxiolytiques et autres dérivés de tue la raison pour les calmer de leur névrose incontrôlable !

Cette maladie, il la connaissait bien, il n'y avait pas de remèdes connus, elle même n'était reconnues que par certains idéalistes, classées d'écrivains à l'eau de rose, de doux rêveurs, parlant des fois de miracles, souvent de malédiction ... l'amour à ses raisons que la raison ignore !

Elle seras la dernière, cette histoire vous le devinez, est mienne !
Ce soir elle ne reviendra pas.
Ce soir je ne veux plus que ça se passe comme ça !
J'ai longtemps masqués mes réelles envies dans le luxe, le strass, les paillettes et les filles faciles.
Je n'attendai que ce moment, je n'ai pas eu les épaules de l'assumer, je ne suis pas fait pour aimer, et si aimer est ma seule raison de vivre, je ne suis pas fait pour la vie !
Je vais dire adieu à cette vie, mais je vais lui donner le dernier honneur de me consumer lentement.
Ce soir je me laisse mourir, c'est comme s'endormir, il suffit que je tue mes insomnies à tout jamais.

Car ce soir je suis là, comme tous les soirs derrière mon PC à tourner en rond !